Dans le cadre d’un appel à texte sur les châteaux hantés proposé par la revue Gandahar, j’ai décidé de m’inspirer des ruines d’un endroit que j’ai beaucoup fréquenté, à quelques kilomètres de là ou j’ai grandi : la citadelle de Châteauceaux. Je n’ai pas été retenu, mais j’ai beaucoup aimé écrire ce texte, en me plongeant dans les quelques archives historiques sur le lieu et en me remémorant les nombreuses visites sur ce plateau forestier offrant un magnifique balcon sur la Loire.
Marguerite